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 danse macabre

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Oreste L'Isle-Adam

♦ MESSAGES : 77
♦ INSCRIPTION : 09/03/2015


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MessageSujet: danse macabre   danse macabre EmptyMer 11 Mar - 17:11

Oreste L'Isle-Adam

ft mads mikkelsen.

► son âge. 43 ans.
► son groupe. BOUGUEREAU.
► son boulot. PDG d’une entreprise pharmaceutique. Menteur, voleur, assassin. Les pilules qu’il vend, l’argent qu’il empoche. Pas de scrupule.
► son caractère. violent, perspicace, sans remord, pragmatique, homophobe, menteur, avare, autodidacte, persévérant, acharné du travail, égoïste, jalousie maladive.
► sa nationalité. Français. Vieux noble. D’anciennes notes étrangères, l’écho anglais des siècles passés.
► Célibataire, marié, veuf. Marié. Trois alliances au feu. Trois oubliées, trois tombes. Une quatrième, la poupée marchandée.
► Classe sociale. Aisé. Pourri d’argent. Billets qui débordent des poches, comptes divers. Il piétine les pauvres, se joue des regards envieux, provoque.
► Orientation sexuelle. Homosexuel. Il ment, préfère crever que d’avouer que la préférence va aux hommes. Crachat à l’encontre du même sexe. Attirance rejetée. Il prétend à l’amour des femmes.

► Ton pseudo reflektor.
► Ton âge 24.
► Comment nous as-tu trouvé ? j'ai vendu mon âme, je suis prisonnière
► Et qu'en penses-tu ? danse macabre 3043956333 .
► Avatar ? Mads Mikkelsen
► Crédits ? blitz.


Des manies, des tocs, des obsessions

Esprit scientifique. Une explication à chaque événement, refus de l’improbable, des coïncidences ¬ Vue affaiblie, lunettes au fond de la poche ¬ Violon dérobé au père, unique souvenir de la figure qui s’est évaporée. Le violon qu’il maitrise, les mélodies qu’il invente ¬ Le poker, où il mise jusqu'à sa vie ¬ Des boites par dizaine, centaines. Pilules et autres médicaments, de tout, de quoi abattre un troupeau de chevaux. La peur de ne pas pouvoir se soigner, la crainte des maladies. Hypocondriaque. Il s’invente une mort chaque matin ¬ Amour pour l'architecture urbaine ¬ Voyage. Il court le monde, refuse la stabilité d’une ville. Plusieurs langues maitrisées, oubliées, à nouveau parlées ¬ Pas de permis, taxi qu'il emprunte ¬ Angoisse qui tord les entrailles. A terre le roi. Il ne sait plus, abandonne tout dans ces moments. Vulnérabilité qu'il cache ¬ Collectionneur d'art, un moyen de s'enrichir, uniquement ¬ Des regards perdus envers les hommes, les rejetés, eux qu'il méprise, eux qu'il hait autant qu'il crève d'envie pour eux ¬ Chimiste de formation. Il connait les mélanges, sait quoi prendre pour obtenir l'effet d'une drogue, l'envie qui le taraude, de perdre la mémoire et le contrôle durant quelques heures ¬


Ta vie, ton histoire


Mère et sœur tuées. Là que tout commence, les souvenirs sur lesquels il ne revient pas. Papa n’a jamais été là. Papa s’est enfui. Et Oreste, c’est l’inattendu. Une fille que la mère voulait. Garçon rejeté. Ça lui rogne l’enfance, développe la peur de l’abandon. Il s’accroche à la famille, et les coups sont l’affection unique.

Les belles à son bras, des femmes qu’il prétend aimer, des alliances qu’il scelle sans aucun regard. Elles sont les plus belles, les enviées, on jalouse sa compagne, murmure et lui n’entend rien. Des épousées, elles ne sont que des sottes, des harpies qui s’échouent pour l’appât de l’or, pour tout un rêve qu’il a construit. Une fantaisie. Oreste vend l’illusion de la perfection, tout ce à quoi aspirent les sirènes. Et elles succombent les folles, tombent. La première est aimée, cinq années jusqu’à la trahison, un soir, avec un autre. C’est la lame qui tranche, c’est l’action avant la pensée. Le voilà responsable d’un carnage, sang aux paluches, homme jaloux et devenu assassin. Les corps qu’il cache, le massacre qu’il fait disparaître. Un pays qu’il quitte, son nom qu’on ne retrouve pas. De l’épouse morte, il invente des histoires. Quelques noms l’aident à cacher les méfaits. La seconde, c’est le même schéma mais avec préméditation. Empoisonnement de plusieurs mois et voilà l’affaire réglée. Les femmes sont sa hargne, ces poupées qu’il ne sait pas aimer, celles qui représentent son mensonge le plus honteux. Les regards se portent aux hommes, il est curieux, s’interroge et c’est le refus catégorique de comprendre que ce sont eux les aimés. Un enseignement de l’enfance, des mots vissés au crâne. La haine qui se forge. Lui ne fait que répéter les mots des parents, a assimilé leur dégout. Frustration qui gagne Oreste. La troisième découvre le péché. Comprend ce qu’il voile. Une moquerie, elle s’épuise aux rires et le voilà qui martèle la dernière, l’enfant qu’elle portait est noyé dans la fureur.

Une peintre. L’artiste qu’il croise au détour des rues, elle à qui il adresse quelques mots. Jolie. Une enfant sur laquelle se pose un regard envieux. C’est elle qu’il veut à présent, elle pour compléter la collection. Un marché qu’il passe. Des parents à soudoyer, une famille qui vend l’épouse. D’autres papiers, d’autres manigances pour former un mariage et les voilà à la chapelle, mariage et promesses. Après, le sacrifice.
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